En clin d’œil à l’album de bande dessinée Avatar et coquecigrues, signé par Alexis (éditions Audie, 1975), des billevesées et autres farfeluteries glanées au fil des jours sur Internet et ailleurs…
• Quel est le synonyme de synonyme ?
• Mais que peuvent les crustacés face au béton qui, lui aussi, s’incruste assez ?
• « Nous sommes une industrie de prototype. » Michel Piccoli, à propos du cinéma.
• « Les enfants, eux seuls, savent que la foi est plus belle que dieu. » Claude Nougaro à Jean-Louis Foulquier (France Inter).
• « Engager des gens intelligents pour leur dire ce qu’ils doivent faire n’a aucun sens ; nous avons engagés des gens intelligents pour qu’ils puissent nous dire ce que nous devons faire. » Attribuée à Steve Jobs, CEO d’Apple.
• « Quand un passager de pied a en vue, flûtez le klaxon. Trompetez-le mélodieusement au début, mais s’il continue d’obstacler votre passage, alors flûtez-le avec vigueur. » Lu, en « français », dans une brochure de location de voitures à Tokyo. Extrait de Dans l’enfer de l’information ordinaire, de Christian Morel (éditions Gallimard).
• « In the word newspaper, what matters is not the word paper. » Le patron du New York Times.
• Quelques versions détournées de la célèbre pochette de l’album Abbey Road des Beatles : c’est là.
• Heureux qui connut Nice. C’est le joli titre d’un documentaire de Robert Bozzi.
• Et « Heureux qui communiste » est ce qu’André Manoukian entendait lorsqu’il était gamin (merci France Inter !)
Et me traverse l’esprit ou la tête : Kober nique les mots sur les toiles.
Merci, cher lecteur ! Les « niquer », je ne sais, mais les piquer (ou à tout le moins les épingler, tel un entomologiste), oui, bien sûr. Et même avec gourmandise ! Mais en effet, ça ne fait plus bon mot ;-)