ABÉCÉDAIRE AMOUREUX DU JAZZ
Michel Jules, Luiz Carlos de Paula et Stéphane Sarlin (trio Notenstock)
invitent le bassiste Abraham Laboriel
Festival Jazz à Vienne, 1993
Photo : Pascal Kober
Toujours, le « bœuf » est un concours de sourires ! Regardez cet after hours saisi à bord d’une péniche amarrée sur les quais du Rhône. Le bassiste américain d’origine mexicaine n’est pas venu pour faire de la figuration. Abraham Laboriel aime la musique du trio et cela s’entend. Même si le disque enregistré ce jour-là traduit mal la magie du direct. Lui manque la chaleur moite, les boissons glacées et cette impression de corps à corps avec les musiciens. Lui reste l’énergie. Formidable. Brute. Le témoignage d’instants précieux tissés de connivences et de grands éclats de rire.
Retrouvez cette image dans mon ABÉCÉDAIRE AMOUREUX DU JAZZ, un livre de 180 pages, publié aux éditions Snoeck, préfacé par Marcus Miller et qui rassemble plus de 200 portraits de musiciens saisis sur scène comme en coulisses, aux quatre coins du monde pour la revue Jazz Hot.
Pour ceux qui aiment le jazz, comme pour ce qui pensent… ne pas l’aimer (!), un concentré de petits bonheurs enchanteurs à mettre sous le sapin. Commandez-le :
Bonsoir, beaucoup d’émotions en regardant cette photo…
Et tant d’émotions en écoutant, encore et encore, cette merveilleuse galette, Stéphane !
Bel an tout neuf à toi et aux tiens !